La seconde guerre mondiale est une époque qui a touché de nombreux écrivains, et beaucoup ont tenu à témoigner, par écrit, de leur vécu durant cette période troublée de l’histoire européenne. Christine Arnothy, alors adolescente en 1945, a connu les bombardements, l’exode et la pauvreté.
L’histoire de J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir
Le roman autobiographique de Christine Arnothy raconte l’histoire vraie de cette adolescente de quinze ans prise dans les tourmentes du siège de Budapest en 1945, quand les Russes pilonnaient la ville pour obliger les Allemands à la capitulation.
La famille de Christine a d’abord dû se réfugier dans une cave, pour éviter l’ensevelissement et la mort. Commençant sur ce huis-clos angoissant, « J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir » narre ensuite la fuite de la famille à la campagne, et le passage de la frontière pour rejoindre l’occident, ses rêves de liberté et d’opulence.
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Pourquoi faut-il le lire ?
Le récit est bouleversant. « J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir » n’est pas un simple roman, c’est l’histoire vraie d’une adolescente qui a perdu trop tôt son innocence, qui a connu les horreurs de la guerre, a dû surmonter les épreuves d’une fuite à l’ouest, la misère des camps de réfugiés, et qui a réussi à s’en sortir et à réaliser son rêve : devenir écrivain.
La critique, le public et plusieurs grands romanciers ont accueilli ce livre avec enthousiasme. On compare souvent « J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir », pour l’émotion et le réalisme qu’il véhicule, au célèbre Journal d’Anne Frank.