Au temps où la Joconde parlait est une invitation lancée par Jean Diwo à côtoyer les grands de la Renaissance.
L’histoire d’Au temps où la Joconde parlait
À la Renaissance, être peintre c’est aussi être philosophe et alchimiste, garant d’un certain hermétisme basé sur le partage et la diffusion d’un certain regard sur le monde. En effet, l’apprentissage repose sur une relation de maître à élève, l’un transmettant à l’autre son savoir-faire. Il faut savoir mélanger ses pigments, pour obtenir les bonnes couleurs, comme l’alchimiste tentait, en alliant les matières, d’obtenir la pierre philosophale.
Un jeune peintre italien, Antonello de Messine, n’hésite pas à s’engager dans de grands périples pour découvrir les secrets de nouvelles couleurs. Ainsi, à Bruges, existe-t-il, paraît-il, une lumière nouvelle. Laurent de Médicis, celui que l’on nomme « le Magnifique », devient le maître incontesté de Florence. Aimant les arts, il s’entoure des plus grands : Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël, et bien d’autres…
Pourquoi faut-il le lire ?
Jean Diwo prend ici le lecteur par la main et le conduit jusqu’au trou de la serrure des grands ateliers de la connaissance. Il lui permet de se dissimuler dans les ors des palais florentins, de partager les questionnements intellectuels et triviaux de ceux dont l’Histoire a retenu la légende.
Chaque peintre est abordé. Au point que, parfois, on se demande si on est face à un roman historique, ou un manuel d’Histoire flirtant avec le roman.