À l’Orient du monde est le septième et dernier tome de l’Épopée des Normands de Sicile, saga historique que l’on doit à Viviane Moore.
L’Histoire d’À l’Orient du monde
Rappelez-vous : Tancrède, parti des vertes et pluvieuses contrées de Normandie, avait rallié la Terre aride et mystérieuse de Sicile, où ceux de son peuple ont su bâtir un royaume au carrefour des civilisations. Le voilà maintenant en route vers les Etats Latins d’Orient, cette Terre Sainte conquise au tout début du XIIème siècle, suite à l’appel à la Croisade du pape Urbain II à Clermont Ferrand. Il s’évade des prisons d’Alep et rejoint Antioche, qui est aussi une terre normande, suite à sa prise par Bohémond de Tarente lors de la Première Croisade. Là, un assassin aux desseins sibyllins sème la terreur et la mort. Tancrède aura fort à faire, et devra mettre en application tous les enseignements de son cher maître Hugues de Tarse pour dénouer les fils d’un véritable noeud gordien.
À Antioche s’entremêlent les intérêts de plusieurs puissances étrangères, dont Byzance et Venise, souhaitant faire main basse sur les richesses de la Principauté. Tancrède d’Anaor fera la connaissance de Naïri, princesse arménienne, dont le regard occupait déjà ses rêves depuis fort longtemps.
Pourquoi faut-il le lire ?
La Terre Sainte fascinait les Européens d’alors. Et elle exerce toujours un attrait particulier sur nos esprits, huit cent ans plus tard. À l’orient du monde est un incontournable pour ceux qui ont lu les six premiers tomes, et à l’intrigue palpitante, poursuivant l’arc narratif initié dans les autres livres de la série, s’ajoute une ambiance particulière, envoûtante.
À l’orient du monde clôt la saga avec maestria. Mais peut-on parler de fin ? Découvrez les six autres tomes :
Le peuple du vent est le premier tome de la fresque historique de Viviane Moore.
A l’orient du monde