Le passeur de lumière est un roman historique médiéval de Bernard Tirtiaux.
Histoire du passeur de lumière
Nous sommes en 1113. L’occident rêve de grandeur, et ses territoires se couvrent d’un blanc manteau d’églises. Nivard de Chassepierre rêve de lumière. Celle du ciel, certes, mais colorée, transformée et sublimée par le travail du verre. Car Nivard de Chassepierre réalise des vitraux, ces histoires mises en scène par la lumière du ciel, et qui racontent aux humbles croyants des chapelles, églises et cathédrales médiévales, les Saintes Écritures.
Le jeune Nivard de Chassepierre va parcourir l’orient et l’occident à la recherche de nouvelles couleurs, d’autres techniques pour s’approprier cette lumière qui le fascine tant. Mais cette quête ne serait-elle pas une fuite de Nivard, hanté par un évènement qui a marqué son coeur de plomb, ce même plomb qui soutient les éclats versicolores des vitraux que la magie de son art engendre ?
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Pourquoi faut-il le lire ?
Amour et passion caractérisent le passeur de lumière, de Bernard Tirtiaux. Une romance contrariée avec une lointaine princesse syrienne, une histoire de meurtres, une châsse merveilleuse, véritable chef d’oeuvre, se côtoient dans ce livre sublime, qui offre en plus le bon heurt de faire découvrir au lecteur un métier aux techniques méconnues, et des artisans qu’on ignore alors qu’on admire les fruits de leur travail dans d’innombrables églises.
