La cinquième épice est un roman onirique de Julien Tournier, qui s’inscrit dans une trame historique vraisemblable.
L’histoire de la cinquième épice : Carthage
Jadis, certaines plantes valaient plus cher encore que l’or lui-même. Elles enivraient les sens et attisaient les convoitises. Bétis vit à Carthage, l’ancienne rivale de Rome, un temps aux mains des Vandales. Mais à la fin du VIIème siècle, quand il voit le jour, la ville appartient aux Byzantins, retournée depuis guère plus d’un siècle dans l’orbite impériale.
Sa jeunesse a le parfum des plantes et des fleurs au milieu desquelles il a grandi : lauriers, Thymys ou encore Rosa Maria. Sans oublier Naïs, une fleur au sourire d’ange. Son père adoptif Anamar Amesakul, qui naviguait souvent d’une rive à l’autre, à la recherche de nouvelles fragrances, lui a donné le goût des épices.
Mais, à une époque où le roi Arthur lui-même n’était pas encore un mythe, s’il a été une réalité, Bétis avait son propre graal. C’est ainsi que débute la longue quête de la cinquième épice, à Carthage.
Pourquoi faut-il le lire ?
Il est heureux que, parfois, le merveilleux s’invite à nouveau dans l’Histoire. Roman historique, la Cinquième épice de Julien Tournier rappelle les contes de nos enfances. Il flotte au-dessus des pages des parfums mystérieux, d’une Carthage capiteuse à une Byzance envoûtante.
Nous nous trouvons peut-être plus en présence d’un conte historique, peut-être, plutôt que d’un véritable roman. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que sa lecture ne vous laissera pas indifférent.
Découvrez le tome 2 : Kairouan
La cinquième épice est publiée chez les éditions du Devin. Vous pouvez le commander directement chez l’éditeur en cliquant sur l’image ci-dessous :